À l’occasion de la 6e édition des Assises de l’Immobilier, qui s’est déroulée les 18 et 19 septembre derniers à Metz à l’initiative de l’AMEPI et la FNAIM, la Fédération a rappelé haut et fort les combats qu’elle voulait mener.

« La crise de l’immobilier est derrière nous ! ». C’est avec beaucoup d’enthousiasme que la FNAIM aborde la fin de l’année 2024. Après 20 mois de régulation du marché, au cours desquels les professionnels de l’immobilier ont beaucoup souffert, Loïc Cantin, président de la Fédération, entrevoit une nette embellie. « C’est un rattrapage, pas un redémarrage », prévient-il, la capacité d’achat des acquéreurs n’étant pas encore pleinement restaurée. On est encore loin des années fastes de 2021 et 2022, où la barre du million de transactions avait été franchie. En 2024, selon les dernières estimations de juillet de la FNAIM, le marché devrait ainsi atterrir à 792 000 transactions. Même si l’horizon semble s’éclaircir, la Fédération, qui a gagné 500 nouveaux adhérents en 2024, ne baisse pas sa garde. Car une crise en chasse une autre. Ces prochains mois, c’est notamment celle du logement qui devrait être au cœur des combats de la FNAIM. 

Quel état des lieux la FNAIM dresse-t-elle du marché immobilier ? Dans quel état d’esprit ses adhérents sont-ils ? Qu’attend la Fédération du futur gouvernement ? Les réponses en vidéo de Loïc Cantin, rencontré à l’occasion de la 6e édition des Assises de l’Immobilier.

Aurélie Tachot

Aurélie Tachot est une journaliste spécialisée dans l’immobilier, qu’elle aime aborder sous le prisme des innovations, notamment technologiques. Après avoir été rédactrice en chef de plusieurs médias spécialisés, elle collabore avec Le Journal de l’Agence afin de rédiger des articles d’actualité sur les acteurs qui font l’immobilier d’aujourd’hui et qui feront celui de demain.

A lire également



Source du Lien