Avec la normalisation des taux d’intérêt depuis 2022, la partie obligataire du portefeuille a en effet retrouvé sa raison d’être, qu’elle avait perdue quand les taux étaient à zéro : générer une rentabilité décente – comptez 3,5 % de rendement du coupon sur un portefeuille standard d’obligations d’entreprises européennes bien notées – sans grande prise de risque.

Il redevient donc intéressant de piloter son allocation d’actifs entre actions et obligations. Classiquement, on parle du portefeuille 60/40 (60 % actions, 40 % obligations) comme d’un portefeuille bien équilibré, mais chaque investisseur peut mettre le curseur des actions plus haut ou plus bas en fonction de ses propres caractéristiques.

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